Au cours de la dernière décennie, Germani a étendu avec succès ses services sur le marché national et étranger en matière de transport de déchets industriels dangereux et non dangereux et de gestion d’activités destinées au transport de gaz cryogéniques.

Suite à cette opération, la société est revenue à l’ancienne structure d’entreprise qui la voit dirigée par les familles Ferrari et Arcese.

Ferrari, né en 1938, peu avant la crise avait vendu 70% du capital social de Germani au fonds d’investissement Wise et pendant cinq ans il est resté au conseil d’administration de la société San Zeno Naviglio en tant qu’administrateur minoritaire. En début d’année pourtant, via une newco, il (re)devient actionnaire unique de Germani; une acquisition dans laquelle elle a trouvé le soutien, non seulement économique, d’un partenaire privilégié: Arcese de Trento, un géant du secteur.

Depuis le quartier général de San Zeno, personne n’entend révéler les détails de l’opération. Des sources accréditées ont fait savoir que le retour de Ferrari dans l’entreprise avait été planifié par son fils Mauro. Cette indiscrétion est confirmée par le fait que Ferrari junior est l’unique administrateur de Megrani srl, propriétaire – depuis la mi-janvier – de toutes les actions de Germani.

Un an seulement après une idée tournée vers l’avenir, les travaux ont commencé pour la création du nouveau hub de transport routier et d’une « Exclusive Academy » liée à la naissance de Germani West Africa. Nouvelle réalité des familles Ferrari et Arcese.
A l’issue de la construction du nouveau site, prévue en janvier 2023, elle pourra compter sur une base opérationnelle de 5 hectares et une position privilégiée à moins de 5km de l’aéroport de Dakar.
Un nouveau défi très difficile que Germani S.p.A. il a rapidement attrapé grâce également à l’entrée du personnel du récent diplômé Andrea Ferrari comme premier interlocuteur de ce projet.